Godzilla II : Roi des monstres

Miley Bobby-Brown face au monstre salvateur

L'agence crypto-zoologique Monarch doit faire face à une vague de monstres titanesques, comme Godzilla, Mothra, Rodan et surtout le redoutable roi Ghidorah à trois têtes. Un combat sans précédent entre ces créatures considérées jusque-là comme chimériques menace d'éclater.

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Si le premier volet avait été interessant pour la redécouverte de l'histoire mythique et des effets spéciaux à couper le souffle, ce deuxième opus démontre le manque d'idée d'Hollywood.

Une histoire vue et revue, prévisible comme jamais. C'est le problème des blockbusters américains ces dernières années...on préfère mettre l'argent dans des effets spéciaux extraordinaires au dépend d'une histoire originale qui tienne debout. Et pourtant...l'histoire mentionne des mythes, croyance mais ne se risque pas au développement de ceux-ci. On reste en surface.

Ce Godilla nous fait faire le tour du monde sans la subtilité des changements de lieux de James Bond.

Godzilla en pleine bataille

On se perd dans le vacarme assourdissant des différents monstres toujours plus gros, plus puissants, plus laids (quoi que..). Et même avec les monstres on se retrouve avec une esthétique lissée ou tous ont le même cri et une apparence supposée laide mais très photogénique.

Godzilla II c'est le film de trop par excellence, où les scénariste ne savent plus quoi nous vendre mis a part un spectacle visuel dénué de sens...